top of page
Mathilde Boulay par maebonnetphotographe

Parcours

Mathilde Boulay

Imprégnée dans le milieu artistique depuis mon enfance, je suis passionnée par l’expression picturale, sculpturale et musicale des arts. C’est en découvrant le violoncelle à l’âge de 7 ans que j’ai tout de suite voulu en jouer, puis en fabriquer.  

J’ai suivi deux formations en ébénisterie en France. Cette approche de la physique et mécanique du bois m’a préparée au métier de la lutherie. Suite à cela, j’ai déménagé au Québec en 2019 pour mes études à l’Ecole Nationale de Lutherie.  

 

Dans la région de la Capitale Nationale, je travaille maintenant avec Simon Bruneau, à fabriquer et restaurer des instruments à cordes frottés, mettant l’accent sur la recherche de la sonorité, l'ergonomie et l'harmonie visuelle.​

 

Crédit photo: Maebonnetphotographe

Simon Bruneau

Parcours

Simon Bruneau

Dès mon retour d’Europe en 1987, j’ai voulu m’inscrire en ébénisterie. Après deux années d’insuccès (manque d’inscriptions pour la formation), mais apprenant par moi-même les bases du métier, j’ai découvert la lutherie. Elle correspondait en tout point aux aspects du métier du bois qui traduisait mon désir : les assemblages complexes, la sculpture ainsi que la dimension acoustique.​

C’est ainsi que je m’inscrit à l’Ecole de Lutherie Artistique du Noroît (ELAN), pour une formation de 3 années, de 1989 à 1992, où je réalisai un violon, un archet et une guitare. Entre temps, j’assistai à des stages de maîtres des luthiers Frédéric Boyer, Jean-Jacques Pagès, Gauthier Louppe et l'archetier Jean-François Raffin.

 

Dès l’été 1991, je fus l’apprenti du luthier et archetier Richard Compartino, et ce pendant 5 ans. Lors de ces années, j’accomplis toutes les tâches d’entretien et de restauration se rattachant aux instruments du quatuor et contrebasses, ainsi qu’aux archets baroque et moderne.​De 1996 à 2022, j’enseignai la lutherie et l’archeterie à l’Ecole Nationale de Lutherie de Québec.

 

À l’automne 2016, pour le centenaire de la première guerre mondiale, je réalisai la réplique du violoncelle de guerre (dit le Poilu) en 3 mois, pour le Jour du Souvenir (11 novembre). Originalement, l’instrument fut réalisé dans les tranchées françaises pour le soldat et violoncelliste Maurice Maréchal, dont l’original est conservé au musée de la Musique à Paris.​

Depuis 1996, je travaille à mon compte dans la région de la Capitale Nationale.

bottom of page